De nombreux chiraquiens, anciens ministres et parlementaires, ont assisté mardi à l’Assemblée nationale aux voeux présentés par l’ex-président Jacques Chirac aux membres de l’association « Avec Jacques Chirac, ses amis rassemblés autour de ses valeurs ».
Lors de la présentation de ses voeux dans l’Hérault jeudi dernier, Jean-Pierre Grand a pris date pour l’élection présidentielle de 2012.
« Depuis que je suis élu maire et député, je n’ai jamais vu une telle souffrance. Les Français sont aujourd’hui perclus de problèmes comme le vieillard de rhumatismes. La souffrance est complète, diffuse. Je ne dis pas que c’est toujours juste, que ce n’est pas parfois exacerbé. Mais je l’observe. Sur dix personnes qui viennent me voir, c’est sept fois sur dix pour un logement ou un emploi, parfois les deux (…) On nous annonce toujours des suppressions de postes dans la fonction publique, l’Education nationale. A la fin du compte, ça veut dire qu’on crée des difficultés et qu’on supprime des emplois ! (…)
Aujourd’hui, il faut absolument remettre de l’ordre dans le fonctionnement de l’Etat. Ça passe par 2012, par un vrai programme, un vrai projet de société, humain et social, et aussi dans le fonctionnement de la République.
À la fin des années 2000, la France comptait 250.000 personnes sans domicile ou en hébergement précaire et 2,9 millions habitant des logements sans confort.
Ces chiffres, établis par une étude de l’Insee publiée jeudi, confirment l’impact persistant et largement diffusé de la crise du logement dans le pays.
Le porte-parole du parti de Dominique de Villepin République solidaire, Daniel Garrigue, a prôné mardi « un nouveau pacte social » sur le travail pour dépasser la polémique sur les 35 heures. « La question de la durée du temps de travail ne peut pas être un simple sujet de polémique entre le PS et l’UMP », explique Daniel Garrigue dans un communiqué.
Dominique de Villepin a affirmé lundi sur RTL que le problème du Mediator, l’antidiabétique du laboratoire français Servier, n’avait « jamais été évoqué à Matignon » à l’époque où il était Premier ministre, entre 2005 et 2007.
Dans un communiqué, Dominique de Villepin rappelle son attachement au combat pour la sécurité routière et condamne l’assouplissement du permis à points voté jeudi par l’Assemblée Nationale.
Le parti de Dominique de Villepin, République Solidaire, a déploré lundi les polémiques sur la condamnation de policiers, appelant chacun « au respect des principes républicains ».
Jacques Le Guen, Député du Finistère, et Jean-Pierre Grand, Député de l’Hérault, dénoncent les décisions du Sénat en Loi de finances 2011 qui vont ponctionner 100 millions d’euros sur les coopératives agricoles.
Notre politique familiale « doit être plus profonde et plus cohérente ». Ces mots sont extraits de l’appel lancé par soixante-cinq députés UMP, dans le dernier numéro de Valeurs Actuelles.
Beaucoup redoutent que notre politique familiale soit affaiblie par une application trop mécanique du plan d’économies défini par le gouvernement. S’ils ne contestent pas la nécessité de réduire les dépenses, ils soulignent qu’il est moins coûteux de soutenir la famille que de remédier à ses défaillances.
Ils rappellent enfin que la famille est indispensable à la cohésion sociale et exhortent le gouvernement à ne pas l’oublier.
Invité ce mercredi du Oui/Non de Michel Field, François Goulard a commenté l’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy et pris, un nouvelle fois, ses distances avec le Chef de l’Etat.
Tandis que le Tout-Paris analysait le remaniement et se préparait à l’intervention télévisée du chef de l’Etat, son principal rival déclaré à droite, Dominique de Villepin, achevait en Martinique une visite d’un peu plus de 48 heures. Entouré de quelques soutiens locaux, le fondateur de République solidaire a circulé avec une petite équipe, sans gros dispositif de sécurité, livrant l’image d’un homme accessible et disponible.
Dominique de Villepin a jugé mardi soir que Nicolas Sarkozy était « coupé des Français » après l’intervention télévisée du chef de l’Etat.
« J’éprouve ce soir un très grand sentiment de tristesse. Nous avons assisté depuis six mois au spectacle pitoyable d’une politique incapable de répondre aux préoccupations des Français, à une véritable démocratie d’opérette », a notamment déclaré Dominique de Villepin.
Dominique de Villepin dresse un portrait de Charles de Gaulle dans le hors-série du « Monde » consacré à la vie et à l’oeuvre du général à paraître ce week-end. En voici l’introduction.
Depuis janvier, Dominique de Villepin multiplie les visites dans les quartiers populaires. Perçu comme l’anti-Sarkozy, il est souvent bien accueilli par les jeunes issus de l’immigration qui n’ont pas oublié son non à la guerre d’Irak, porté en 2003 aux Nations unies.
Cinq ans après le drame de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le Premier Ministre à l’époque des faits analyse la situation dans les cités.
L’ancien premier ministre français Dominique de Villepin a estimé que la déchéance de la nationalité menaçant tout étranger attentant à la vie d’un dépositaire de l’autorité publique est un calcul politicien.
« Qui va croire que la déchéance de nationalité, qui va peut-être concerner un cas par an, va régler quoi que ce soit en matière d’insécurité », s’est-il interrogé dans un entretien accordé à l’hebdomadaire « Valeurs actuelles » de jeudi.
Pour le président du tout nouveau parti « République solidaire », cette déchéance de la nationalité, contenue dans le projet de loi sur l’immigration, adopté en première lecture par l’Assemblée nationale le 12 octobre, n’était pas nécessaire, tout comme la loi sur la burqa.
Intervention de Dominique de Villepin au Congrès de l’Union Nationale de la Propriété Immobilière (UNPI) le jeudi 21 octobre 2010 au Palais des Congrès à Paris.
L’ex-Premier ministre Dominique de Villepin a exhorté Nicolas Sarkozy à ne pas céder à la tentation de « passer en force » sur la réforme des retraites, redoutant que la majorité « ne le paie extrêmement cher en 2012″ lors de l’élection présidentielle.
Dominique de Villepin a défendu vendredi dans l’Hérault sa vision d’une République qui rende « la parole au peuple » et « implique davantage les citoyens », en vantant les vertus du référendum et de la proportionnelle, et en prônant la fin du cumul des mandats.
A l’occasion de son déplacement, ce vendredi, à Montpellier, Dominique de Villepin s’est confié au Midi Libre.
Il se montre très critique sur la politique actuelle du gouvernement et du chef de l’État. Dominique de Villepin évoque sans ambages ses résolutions. Rien ne le détournera de sa mission : rassembler les Français et proposer une alternative, le moment venu. Sans langue de bois, avec force et éloquence, le concurrent de Nicolas Sarkozy fait le tour des questions brûlantes de l’actualité. Politique gouvernementale, étrangère et en Languedoc-Roussillon. Villepin aborde tous ces sujets.
L’ex-Premier ministre Dominique de Villepin a conseillé vendredi au président Nicolas Sarkozy de « faire un compromis » sur la réforme des retraites, en lui suggérant des gestes sur le report de 65 à 67 ans de l’âge de départ sans décote.
Invité de Canal +, M. de Villepin a fait valoir que l’important était que la réforme soit « juste ». Il a suggéré ainsi que le gouvernement « renonce » au report à 67 ans, en mettant l’accent sur le problème des femmes.
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